Inde: le crash du Boeing 787 a fait un bilan provisoire de 300 morts avec un miraculé
Wishwash Kumar Ramesh, c’est le nom, comme le rapporte plusieurs médias internationaux, du survivant du crash du Boeing 787-8 Dreamliner, de la compagnie Air India.
Le drame s’est produit le jeudi 12 juin 2025 dans le Nord-ouest de l’Inde plus précisément à l’aéroport international Sardar Vallabhbhai Patel d’Ahmedabad.
Le 787 un emblématique porteur comme l’on le désigne, de l’avionneur américain Boeing à destination de la ville de Gatwick, à Londres, en Angleterre s’est de tout de suite écrasé peu après son décollage. Trente secondes, c’est juste le temps de vol qu’à mis l’appareil avant de perdre l’altitude et s’écraser au sol. Le bilan de ce drame est lourd. Car, il y avait à bord du Dreamliner: 242 passagers ainsi que 12 membres de l’équipage.
Ils sont de nationalités diverses. Ce sont entre autres des indiens, des britanniques, un Canadien et autres. Mais, il n’y a pas eu que ces derniers dans cette tragédie. On dénombre également les victimes de la zone résidentielle sur laquelle l’avion s’est crashé y compris des étudiants d’une faculté de médecine. Vishwash Ramesh, le miraculé, un ressortissant britannique d’origine indienne qui aurait à la dernière minute changer de place pour occuper la 11 A s’est, c’est à dire, à proximité d’une des porte de l’avion exprimé à New Indian Express.
« Trente secondes après le décollage, il y a eu un bruit fort puis l’avion s’est écrasé. Tout s’est passé si vite. Il y avait des cadavres autour de moi. J’ai un eu peur », a-t-il confié.
Toujours selon les mêmes médias, les causes de l’accident ne sont pas encore connues.
Toutefois relèvent-ils une enquête a été ouverte par la direction générale de l’aviation civile indienne en collaboration avec les experts du constructeur Boeing.
Dans cette même perspective, répondant à une question ce même jour sur une chaîne de télévision française un expert en aéronautique a indiqué pour déterminer si le drame est lié soit à un problème mécanique ou de pilotage plusieurs facteurs entrait en ligne de compte « Il y a les constructeurs, les compagnies, les équipages, les aéroports, les contrôleurs d’indication aérienne, la réglementation », a-t-il éclairé. En ce qui concerne le commandant de bord de Boeing 787, il a été mentionné qu’il avait à son actif plus de 8 000 heures de vols et son co-pilote 1 000 heures.
Hélène Aka
